Dying Light: The Beast n’est même pas encore sorti depuis un mois sur PC et consoles, mais les joueurs auraient déjà abattu près de deux milliards de zombies, mettant fin à leurs vies mortes-vivantes – encore une fois. Selon le studio polonais Techland, la communauté a accompli cet exploit en seulement deux semaines après la sortie du jeu.
Ce chiffre à lui seul donne une idée de la folie du titre en monde ouvert, mêlant parkour, horreur et violence démesurée. Et pourtant, ce n’est même pas la statistique la plus impressionnante.
Toutes plateformes confondues, les joueurs ont déjà accumulé près de 2 943 années de temps de jeu combiné. Oui, des années. Cela en dit long sur la popularité du jeu, mais aussi sur la quantité de contenu et la rejouabilité que propose The Beast. Bravo, Techland.
Un retour attendu aux sources
Ce succès était prévisible : Dying Light: The Beast s’appuie sur une base de fans déjà solide, impatiente de retrouver les mécaniques du premier opus, après l’accueil mitigé du deuxième. Techland excelle dans la création de mondes vivants et immersifs, propices à l’exploration, et The Beast pousse encore plus loin cette formule – avec encore plus d’ennemis à massacrer, d’où ces chiffres vertigineux.
Le résultat est aussi chaotique que fascinant. Techland signe un environnement à la fois magnifique et oppressant, et même pour obtenir le meilleur équipement ou explorer chaque recoin du monde, il faut de nombreuses heures de jeu. Ces deux milliards de morts-vivants n’ont donc rien d’étonnant.
Un succès sanglant et durable
Ce genre de statistiques agit comme une publicité gratuite, chaque joueur contribuant à ces chiffres simplement en jouant.
Après seulement deux semaines, Dying Light: The Beast s’impose déjà comme l’un des plus grands succès de Techland, et tout indique que la franchise a encore de beaux jours devant elle.
Le compteur de morts est astronomique, le temps de jeu hallucinant, et la dynamique ne montre aucun signe de ralentissement. Avec des mises à jour et événements communautaires déjà annoncés, le jeu ne peut que devenir encore plus sanglant, étrange et créatif.
Deux milliards de zombies abattus, et d’innombrables encore à venir – si les deux premières semaines sont un indicateur, The Beast a encore beaucoup de vie (et de mort-vivante) devant lui.
